Elena Leonardi (1910-1989) :

"[...] J'eus la vision de saint Joseph et en même temps j'entendis le trot de chevaux tirant un char, qui, descendant du ciel, s'approchait de moi et de saint Joesph. Le char était blanc, tout brodé d'argent, avec quatre chevaux blancs comme un char royal. Saint Joseph m'expliqua en disant : C'est le char de l'Apocalypse. Tu dois savoir que cinq parties du monde seront détruites. [...]" (27 mai 1957)

(Marie) : "[...] Ecoute-moi, je suis une Mère miséricordieuse et je suis sur cette terre. Après tant d'avertissements [...] je ne puis plus retenir le bras de mon Fils [...] une révolution est aux portes du monde et aucun bras humain ne peut l'arrêter : misère, famine, maladies, désordres, persécutions, accidents, tremblements de terre, inondations, éboulements qui dévastent le monde, feu du ciel, mers démontées, le sang coulant dans toutes les rues ! C'est l'heure de prier et de parler au peuple pour que les gens retrouvent leurs consciences. Unissez-vous pour conjurer ce terrible châtiment qui vous frappe inexorablement ! [...]" (18 juillet 1973)

(Marie) : "[...] Nous sommes vraiment à la fin et le temps récolte ce qui fut semé. Ne présumez pas de connaître les dates ; ne cherchez pas à connaître combien de temps il faudra ! Vivez comme si chaque jour était le dernier, car c'est ainsi seulement que vous arriverez préparés. [...]" (15 août 1974)

(Marie) : "[...] Ma fille, j'ai beaucoup de douleur, parce que les peuples et les nations sont sur la voie de la perdition. Le matérialisme avance partout avec un débordement de corruption. Il a poussé l'humnité vers un abîme épouvantable de ruines. [...] Même Rome sera punie, en toute justice, pour ses nombreux et graves péchés, car le scandale est arrivé à son comble. Cependant, les bons qui souffrent, les persécutés pour la justice et les âmes justes, ne doivent pas craindre, car ils seront sauvés. [...]" (2 mars 1975)

(Marie) : "[...] Le monde va de mal en pis. Le paganisme triomphe. Le démon déploie tous ses efforts pour pouvoir enlever du monde le Saint Sacrifice de la Messe. Les prêtres offensent Dieu par leurs moeurs immorales. La Divine Miséricorde vous donne encore un peu de temps, pour y remédier et réfléchir. Pénitence et prière. [...] Ma fille, que de messages annonçant des événements douloureux, et on demeure indifférent comme si c'était un appel en l'air ! Mes larmes de sang, qui les apprécie ? Pas même les bons y pensent. [...] Ce sont de pressants avertissements de grande Miséricorde Divine, obtenus par l'angoisse de mon Coeur maternel, parce que je veux tous vous sauver et je voudrais que personne ne se damne par sa faute. Et pourtant, personne ne va en enfer sans son propre consentement." (28 décembre 1975)

(Marie et Padre Pio) : "Si les hommes ne cessent pas d'offenser mon Fils, le temps ne sera pas éloigné où la Justice du Père enverra sur la terre le châtiment qui lui est dû. Ce sera le pire châtiment qui ait jamais été vu dans l'histoire de l'humanité. Quand dans le ciel apparaîtra un signe extraordinaire, les hommes doivent savoir que proche sera la punition du monde ![...] Le monde sera tout bouleversé par une terrible guerre !... Les armes les plus meurtrières détruiront peuples et nations et les choses les plus chères ! [...] Des nuages avec des lueurs d'incendies apparaîtront enfin dans le ciel et une tempête de feu s'abattra sur le monde entier. [...] Le terrible fléau, jamais vu dans l'histoire de l'humanité, durera 70 heures. [...] Alors on verra la puissance de la Lumière sur la puissance des ténèbres. [...]" (2 avril 1976)

(Marie) : "[...] L'heure des comptes est arrivée et les péchés de cette génération, même les plus énormes, se multiplent toujours plus. Dieu, Père de Miséricorde, a attendu le repentir des masses, en se servant des messages communiqués aux âmes privilégiées et des phénomènes de larmes et de sang de tant d'images de la Madone et même du Crucifix. [...]" (28 juillet 1976)

(Jésus) : "Ma fille, crie fortement que présentement le monde est pire que Ninive, lorsque, par l'intermédiaire de Jonas, Je la menaçai du châtiment qu'elle méritait. Cela signifie que maintenant la pénitence doit être plus grande que celle que firent les Ninivites en réparation des péchés de ce temps. [...] Dites à mes enfants d'être dociles à mon Avertissement, celui que ma Très Sainte Mère a annoncé. J'avertis ainsi le monde entier, car, dans ce but, J'ai donné aux hommes les moyens de communication, afin que mes messages et ceux de ma Très Sainte Mère fassent plier la résistance de l'humanité à mes avertissements répétés. Priez beaucoup pour les scandales du monde ! Ma Main gauche indique l'Avertissement et la droite le Miracle.* [...]"

[* Phrase reprise littéralement dans les locutions de Soeur Anna Ali (1966-2012) et plus récemment par Gisella Cardia à Trevignano Romano. ]